Combiner le fon-gbé et le français sur une sonorité afro-cubaine pour ressortir l’élégance de l’amour, c’est à cette mission que s’attèle Keurblaan.
‘’Nan nan wé’’ en devient un épisode de l’odyssée amoureux qu’il fait vivre depuis ‘’Sèna’’. Il réussit à faire rêver, à mettre un peu de romance dans l’air, à semer de belles promesses, et surtout à laisser s’exprimer la tendresse.
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