Récemment se tenait la énième édition du FESPACO au Burkina-Faso. Plusieurs pays y étaient représentés à travers des œuvres cinématographiques. Et, cela va de soi, chaque pays y était présent avec des acteurs prometteurs. Entre autres pays, le Bénin.
Prix du meilleur film d’école
Pour cette édition, et contrairement à certaines des années antérieures, le 229 n’est pas rentré bredouille. Quelle joie ! Quelle satisfaction ! Le pays est rentré du FESPACO avec le prix du meilleur « Film des écoles africaines de cinéma ».
Une récompense obtenue après plusieurs années de préparation méticuleuse pour un film dont la paternité revient à Jaurès KOUKPEMEDJI, un jeune réalisateur.
Quelle réussite !
Aux côtés de Jaurès, une équipe soudée et mûrie par l’expérience de l’Institut Supérieur des Métiers de l’Audiovisuel, ISMA. Chaque détail a été pris en compte pour faire de ce film une réussite.
L’éclairage : dans sa forme la plus simple, mais conforme aux normes internationales ; les dialogues des acteurs : faciles à comprendre, mais restituant le vécu quotidien ; le synopsis tournant autour du père de Bryan, un incompris dans le drame qui s’est tramé sous ses yeux.
Un bon coup de promo
Bien entendu, ce prix assorti d’une enveloppe financière de 2 millions de FCFA participe à l’essor du cinéma africain, en particulier aux écoles de cinéma, mais aussi et surtout à ISMA qui, en l’occurrence, démontre son savoir-faire. Évidemment, c’est un coup de promo qui pourrait valoir pendant plusieurs années.
D’un autre côté, c’est aussi un coup de boost pour le Bénin qui se retrouve ainsi promu au rang des nations africaines attendues dans le secteur de la cinématographie. Et, bien sûr, l’actuel gouvernement, à travers Son Excellence et le ministre de la Culture, y est pour quelque chose.
Félicitations au jeune réalisateur et à toute son équipe !
Rédaction: Sangoku
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